Viol : pas la pulsion, la prédation

Interview d’Adelaide Bon par Francine Sporenda

Adélaïde Bon est née en 1981, elle vient de publier « La petite fille sur la banquise » qui est son premier livre.

F. S. : Vous racontez dans votre livre que, après le viol par un violeur de mineures multirécidiviste dont vous avez été victime à 9 ans, et avant de commencer finalement une psychothérapie efficace, vous oscilliez entre peur des hommes/dégoût du sexe et envies de meurtre et drague compulsive « d’inconnus effrayants qui vous reluquaient comme un boucher juge une carcasse ». Pouvez-vous parler de ces contradictions, de cette peur/attraction vers les hommes dangereux que connaissent des victimes d’agression ?

A. B. : Il s’agit d’un des symptômes de l’État de Stress Post Traumatique : celui des conduites à risque, dans le but de se dissocier. A l’époque, je n’avais pas accès à ce vocabulaire-là, je ne comprenais pas pourquoi j’agissais ainsi. L’amour des hommes sincères me faisait extrêmement peur, je me haïssais trop.  Que mon corps soit aimé, qu’il reçoive de la tendresse et de la douceur, et je plongeais dans le gouffre. C’était insupportable, la tendresse. Certains y sont parvenus, à m’aimer, à force de douceur, pas à pas, mais c’était difficile, c’était douloureux. Quant à ceux que je n’aimais pas, ceux qui me faisaient peur, dont je sentais confusément qu’ils avaient un rapport violent aux femmes, eux m’attiraient. J’avais besoin d’avoir peur pour me dissocier – une fois dissociée, je me croyais plus forte, plus puissante, plus libre, alors que ce n’était pas ça, pas du tout, juste, je ne sentais plus rien. Je pouvais passer dans la même soirée d’un « endroit » à l’autre : croiser le regard d’un homme bon et le fuir, croiser le regard d’un prédateur et y aller, sans comprendre pourquoi : j’y allais pour me couper de mes angoisses. La bonté ravivait mes angoisses, et le rapport de force, la perversité, me changeait en pantin. Je me vivais beaucoup plus facilement comme pantin que comme être humain. 

F. S. : Il y avait une recherche constante de l’anesthésie par la dissociation ?

A. B. : Complètement. C’était une façon parmi d’autres, j’en ai trouvé des tas, il fallait respirer à tout prix.

F. S. : Suite à ce viol, vous avez souffert (entre autres) de boulimie et vous avez beaucoup grossi. Vous dites que vous vous êtes gavée pour vous « engloutir dans vos propres bourrelets ». Cette prise de poids semble être assez fréquente chez des femmes victimes de violences sexuelles. Considérez-vous que grossir est un moyen pour les femmes victimes de violences sexuelles de se protéger ?

A. B. : De se protéger, non. La boulimie, c’est un symptôme, c’est une violence qu’on se fait, c’est un écho, un ricochet de la violence qu’on nous a faite. Ça ne nous protège pas, ça nous abime. Je me suis gavée pour ne pas sentir la violence qui était en moi, c’était une manière de m’anesthésier, de me dissocier, de disparaître, de cesser d’exister. Je ne pourrai jamais dire que ça m’a protégée, non, ça m’a abimée. J’ai fait ce que j’ai pu : c’était une béquille mais c’est une mauvaise béquille.

F. S. : Quand vous dites que c’était une manière de disparaître, est-ce que le fait de disparaître – ou d’avoir l’impression de disparaître – ne vous donnait pas quelque part l’impression de vous protéger des agressions sexuelles ? Des amies victimes d’agression sexuelle m’ont dit : « oui, probablement, j’ai cherché à devenir grosse, moche, pour ne plus attirer les agresseurs sexuels ». Ce n’est sans doute pas une vraie protection mais c’est au moins l’illusion d’une protection…

A. B. : Une des victimes au procès l’a dit, je la cite dans le livre : « je suis devenue boulimique pour que les hommes ne me voient pas. »

F. S. : C’est ça exactement !

A. B. : Moi, dans la boulimie, je cherchais à ne rien ressentir, à m’anesthésier. C’était très violent mais ce n’était pas réfléchi : je n’ai pas mis en place une stratégie pour disparaître aux yeux des agresseurs sexuels, d’autant que comme ça m’était arrivé dans l’enfance et que j’avais une amnésie traumatique, je ne faisais aucun lien entre ce qui m’était arrivé et les angoisses que je vivais ; il n’y avait pas dans ma vie cet aspect-là, d’un désir conscient et stratégique d’échapper à la prédation. Mais qu’il existe pour d’autres victimes, c’est très probable : les symptômes sont complexes et ne sont pas nécessairement univoques.

F. S. : Vous dites dans votre livre que vous étiez horrifiée par la présence de pensées violentes ou perverses qui vous traversaient la tête en présence de votre compagnon ou de votre fils. Vous dites aussi en vous adressant au violeur, qu’il « est en moi ». C’est ce qu’on appelle la colonisation de la victime par les pensées de l’agresseur qui se sont – dites-vous – immiscées dans les replis de votre cerveau. Pouvez-vous nous parler de ce phénomène de colonisation mentale qui est très dérangeant pour les personnes qui le vivent ?

A. B. : Très dérangeant, tant que personne ne vous a expliqué ce qu’est la colonisation. Ce mot m’a sauvée, au sens propre, c’est, avec le mot « viol », celui qui a eu le plus d’impact dans ma reconstruction. Pendant des années, de mes 9 ans jusqu’au jour où j’ai lu ce terme pour la première fois dans un livre de Muriel Salmona, « Le livre noir des violences sexuelles », j’ai cru que c’était mes pensées, ma violence, ma haine, ma perversité. C’était terrifiant, alors je me dissociais, ces images étaient trop violentes, ces pensées trop haineuses – je parle de pensées de meurtre, de meurtre concret, pas juste « oh là là, j’ai envie de tuer quelqu’un ! », non, tout d’un coup, être agie tout entière par une envie de massacre, être envahie par cette violence-là et n’avoir aucun moyen de la comprendre – croire être folle, mauvaise, perverse. De cela, je n’ai jamais parlé au psy qui m’a suivie douze ans. Ces choses-là, je ne les nommais pas, je ne les écrivais pas, j’essayais de les garder à distance, hors langage, hors pensée. Et c’est aussi ce qui les rend si dévastatrices – tant que l’on ne vous a pas dit qu’elles ne vous appartiennent pas, c’est impossible de le découvrir par soi-même. On en a une vague intuition pourtant, et c’est cette intuition qui m’a fait aller de thérapeute en thérapeute, de cours de chant en cours de théâtre. L’intuition qu’il y avait là-dedans quelque chose que je n’arrivais pas à m’expliquer. Voilà, une intuition, c’est tout ce qui reste, on n’arrive pas à s’expliquer ce qu’on vit, alors on cherche, partout, l’explication.

F. S. : Le fait que quelqu’un vous dise enfin : « ce n’est pas vous, c’est lui », ça doit être absolument libérateur…

A. B. : C’est le monde qui se remet à l’endroit. Passer des journées entières à marcher à l’envers avec l’impression que tout le monde marche à l’endroit, avoir sans arrêt, à chaque seconde, à l’intérieur de soi quelque chose qui déconne, qui ne va pas comme tout le monde, qui ne fonctionne pas comme il faudrait. Sans arrêt, à chaque seconde, sans cesse. Et tout à coup, on vous dit « ces pensées ne vous appartiennent pas », et le monde à l’envers se remet à l’endroit. C’est bouleversant, c’est stupéfiant, c’est beau !

F. S : C’est une expression que la Dre. Muriel Salmona utilise souvent à propos des victimes de violences : il faut remettre le monde à l’endroit.

A. B. : C’est une sensation physique, pour les victimes, c’est concret, ce n’est pas une image.

F. S. : Lorsque votre violeur a finalement été identifié (grâce au fichier des empreintes ADN) et arrêté, on vous a demandé d’accepter d’être confrontée à lui, ce qui est terrifiant et traumatisant pour les victimes. Que pensez-vous de l’utilité judiciaire réelle de ces confrontations, de ces expertises, etc. et analysez-vous ce processus judiciaire comme une re-victimisation, voire même une punition des victimes de violences sexuelles qui ont osé porter plainte ?

A. B. : Les procédures judiciaires sont maltraitantes envers les victimes de violence sexuelles. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un pour qui ça se soit bien passé. En France, quelqu’un qui a été violé n’obtient pas justice. Ou alors il faut que le violeur soit, comme dans mon cas, quelqu’un sur qui on puisse jeter l’opprobre ; si c’est un père de famille ou un notaire, c’est mort, on ne leur fera jamais rien.

Quand vous parlez de confrontations, vous parlez de ces confrontations où on se retrouve face à face avec l’agresseur dans le bureau d’un juge avec les avocats ?

F. S. : Oui, les confrontations qui font partie de la procédure avant le procès.

A. B. : Heureusement, j’étais bien accompagnée, on m’avait prévenue : « si on te propose une confrontation, tu dis non ». Quand j’ai été me faire expertiser, l’experte a essayé de m’extorquer une réponse positive. L’expertise psychologique, d’ailleurs, c’est souvent une nouvelle violence, j’avais beau être préparée, ça m’a complètement laminée. Ce passage figure in extenso dans mon livre, pour prévenir les victimes des pièges qui nous sont tendus. A la fin de l’expertise, j’enfilais mon manteau, l’experte m’a posé la question de la confrontation comme s’il s’agissait d’une formalité. Soit elle est ignorante de ce qu’est la dissociation, et donc incompétente à expertiser des victimes de violence sexuelles, soit elle se fout royalement de la souffrance des victimes. Moi, face à Giovanni Costa (NDLR son agresseur),dans un bureau, je me serais dissociée immédiatement, rien qu’à croiser son regard – quelle marge de manœuvre aurai-je eu pour me faire entendre et obtenir justice ? Elle aurait été absolument nulle, je n’aurais rien pu dire, je n’aurais rien ressenti – j’aurais été dissociée. Le juge aurait pensé : « ah et bien, elle n’est pas si traumatisée finalement », et basta ! C’est ce qui se passe dans une confrontation. L’arsenal législatif existant indigent et si peu appliqué, la correctionnalisation massive des viols en agressions sexuelles, …, il y a mille raisons d’être en colère aujourd’hui – mais alors demander aux victimes d’être confrontées à leur agresseur, pour empêcher un peu plus leur parole et les exposer à une nouvelle violence, je trouve que c’est carrément criminel.

F. S. : Voire même sadique…

A. B. : En tout cas, c’est s’assurer que la parole de la victime sera empêchée. Et chaque fois qu’on se dissocie, les conséquences sont de plus en plus grave. En revanche, pendant le procès, dans le cadre des Assises, c’était important qu’il soit là, assis dans le box des accusés. Je ne le regardais que si je choisissais de le faire.

F. S. : Est-ce que vous pensez que le fait de refuser la confrontation avant le procès a pu être retenu contre vous, a pu vous desservir aux yeux de la justice ?

A. B. : Le fait de refuser la confrontation m’a valu du mépris. Et pourtant dans mon cas, il y a des preuves ADN, il y a une centaine de victimes, c’est une affaire « facile ». Dans le cas où c’est, soit disant, « parole contre parole », le refus de la confrontation est souvent utilisé par la partie adverse pour invalider la parole de la victime. Donc on est dans une double contrainte : soit on accepte la confrontation, et notre parole sera invalidée par la dissociation, soit on la refuse, et notre parole sera invalidée par la partie adverse.

F. S. : Vous écrivez : « les pédocriminels sont des gens charmants. Des membres de notre famille, nos meilleurs amis, nos voisins, nos professeurs, nos idoles, nos élites ». Donc très majoritairement, des hommes ne présentant pas de troubles mentaux particuliers, contrairement aux clichés en vigueur, y compris dans la magistrature. Pouvez-vous commenter pourquoi ces clichés persistent –malgré l’évidence du contraire ?

A. B. : C’est une grande question. Pourquoi, depuis des siècles, les victimes de violences sexuelles ne sont ni protégées, ni aidées ni écoutées, et pourquoi on ne cesse d’inventer des excuses pour ne pas s’en occuper ? Dire que les pédocriminels sont des malades mentaux, c’est une excuse bidon, les gens savent bien que personne n’arrive dans la rue avec la verge en érection pour sauter sur les passants – ça n’existe pas. S’ils continuent à raconter cette histoire-là, c’est bien que ça sert à quelqu’un. A qui profite le crime ? Au patriarcat. C’est une question que la société doit se poser : comment se fait-il qu’on protège tant les agresseurs ? C’est parce que ça sert à quelques-uns.

F. S. : Donc quand on parle de la « pulsion incontrôlable » des violeurs, cette explication vous semble totalement non crédible ?

A. B. : Je n’ai jamais entendu parler d’un homme – satyre sortant de chez lui pour se jeter sur la première femme venue.

F. S. : Et aussi, ce que vous décrivez bien dans votre livre, c’est que votre agresseur, surnommé « l’électricien », avait mis au point un certain nombre de stratégies pour approcher les petites filles et leur inspirer confiance – l’une d’entre elles étant qu’il se faisait passer pour un électricien venu faire une réparation. Il les repérait, les épiait, les suivait – il y a toute une planification, il y a un mode opératoire qui était mis au point – et donc une préméditation : il y a le choix du bon moment, le choix de la petite fille – elles devaient être seules, elles devaient être emmenées dans un endroit où il n’y a personne. Il y a toute une stratégie, on n’est pas dans la pulsion.

A. B. : Non, on est dans la prédation. Le mot de prédation est très juste. Durant le procès, ça a choqué un des avocats que l’avocat général utilise le terme de « prédateur ». Il n’y a pas de mal à utiliser ce mot, c’est exactement ça, ce sont des chasseurs, ils attendent, ils choisissent, afin que la victime corresponde exactement à leur agenda, à leur mise en scène. La victime ne compte pas, elle n’existe pas à leurs yeux, elle n’est qu’un objet qu’ils utilisent.

F. S. : Vous dites d’ailleurs au début du livre qu’avec ce viol, vous avez eu l’impression qu’on vous entraînait dans une histoire qui ne vous concernait pas du tout.

A. B. : Oui. J’ai passé vingt-sept ans à survivre, à piétiner, à chercher où elle pouvait bien être passée, ma vie. Comme si j’étais pilote d’avion et qu’au lieu de piloter, j’avais passé vingt-sept ans sur le tarmac à réparer des avaries qui n’étaient pas de mon fait. C’est un hold-up ! Quelle perte de chances pour toute la société, tous ces enfants qui passent leur vie à essayer de colmater les brèches – plutôt qu’à la vivre. Et ça aussi, à qui ça profite ?

F. S. : Avant le procès, vous avez retrouvé d’autres souvenirs de l’agression et vous avez eu la certitude d’avoir subi aussi une pénétration anale et une fellation forcée. Pensez-vous que ces souvenirs qui reviennent sont fiables et que le risque de faux souvenirs – souligné par des psychiatres – est réel ?

A. B. : Mon opinion, c’est que c’est exactement comme de prétendre que les pédocriminels sont des malades mentaux, il s’agit ici aussi de ne pas croire les victimes. Au cours d’une thérapie corporelle, j’ai d’abord eu la réminiscence de la pénétration digitale vaginale. Cinq ans plus tard, alors que je ne leur en avais jamais parlé, ma mère, et le pédiatre qui m’avait examinée au lendemain des faits, l’ont confirmée. Dans mon histoire, j’ai eu la chance d’avoir des témoins. Qu’est-ce que c’est qu’un souvenir ? Quelque chose dont on se rappelle vaguement, une atmosphère qu’on tente de restituer, de retrouver, par les mots. Mais quand la mémoire traumatique des violences se réveille, ça n’a rien à voir, c’est très physique, c’est votre corps tout entier qui est pris d’une émotion qui vous tend tous les muscles, d’un dégoût qui vous tord la langue, c’est extrêmement concret. Ce n’est pas « peut-être qu’il m’est arrivé ça, ça expliquerait bien des choses… », non, ce n’est pas intellectuel, c’est charnel, c’est horrible. On préférerait mille fois que ça ne nous soit pas arrivé. C’est complètement ahurissant qu’on accuse les victimes d’inventer des histoires qu’elles sont les premières à souhaiter n’avoir jamais vécues. De nouveau, c’est le monde à l’envers. Cette controverse autour des faux souvenirs, je la trouve fascinante et si cohérente avec toutes les autres manœuvres que l’on met en place pour ne pas s’occuper des victimes. 

F. S. : Lors du procès collectif (il y avait déjà eu un filtrage, puisque seulement 35 dossiers sur plus de 70 sont retenus, dont le vôtre), de nombreux dossiers de viols seront prescrits. Que pensez-vous du traitement actuel des viols sur mineures par la justice (deux fillettes de 11 ans jugées consentantes et sursis pour le viol d’enfants de moins de 5 ans) ? Est-ce que vous n’avez pas l’impression que le traitement des affaires de pédocriminalité et de viol par les tribunaux devient de pire en pire ?

A. B. : Je trouve qu’on est à un drôle de moment. Du côté des victimes, on n’a jamais autant été en réseau ; une sororité concrète, palpable, de plus en plus étendue, et qui prend des formes nouvelles, qui me paraissent solides. On se met à écouter des choses qu’on n’entendait pas avant. J’ai la chance que la sortie de mon livre coïncide avec ce moment, il serait sorti il y a cinq ans, peut-être que personne ne l’aurait acheté. Le mouvement de solidarité entre femmes, entre victimes – vu qu’il n’existe pas de femmes qui n’aient été victimes, ne serait-ce qu’un tant soit peu : le sexisme nous atteint de mille façons, ce mouvement prend une ampleur nouvelle. Et de l’autre côté, on assiste à une levée de boucliers démente, comme cette proposition d’article de loi du gouvernement où l’on enlève le mot « viol » pour qualifier une pénétration sur mineur. Je suis tombée de ma chaise quand j’ai vu ça. D’un côté, le mouvement s’étend, et d’un autre, les boucliers se hérissent : qui va gagner ? Je ne sais pas. C’est David et Goliath. Du côté de Goliath, on a plus de vingt-cinq siècles de domination, mais j’espère qu’à la fin David va gagner. Si chacune continue à agir pour le bien commun, à faire sa part, ça avancera. Bien sûr, ça prend du temps. On n’est pas les premières, et on ne sera pas les dernières. Moi j’y crois ! 

https://revolutionfeministe.wordpress.com/2018/06/10/viol-pas-la-pulsion-la-predation/

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Auteur : entreleslignesentrelesmots

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